Description:La Maison des Bois - René Wheeler et Maria Benedicto"La guerre, c'est la guerre", écrivait Jean Giraudoux. Mais il faut bien admettre qu'elle sait prendre, selon les lieux et les époques, des visages et des dimensions infiniment variés. Dans le petit village picard où René Wheeler et Maria Benedicto ont situé leur roman, la Première Guerre mondiale garde, en 1918, des proprtions humaines, à la mesure même des presonnages et de leur destin le plus quotidien. Au centre du récit, Maman Jeanne et son mari, le garde-chasse Albert, qui accueillent dans leur maison forestière des petits Parisiens chassés de la capitale par la tourmente. Pour ces enfants, et plus encore pour le jeune René que ses parents semblent avoir définitivement oublié dans cet abri privilégié, la guerre est surtout l'occasion de découvrir l'existence un peu lente, faite de sentiments simples mais profonds, d'arbres pleins d'oiseaux, de pain partagé, de jeux libres, dans cette petite communauté villageoises repliée sur elle-même.Pourtant, la guerre n'épargne personne; ici comme aiileurs, elle tue, elle isole, elle s'efforce de trancher l'un après l'autre les liens qui seuls font que l'avenir puisse être synonyme d'espérance. Mais ici plus qu'ailleurs les êtres demeurent fidèles à leur première mission qui est de continuer, quand même, qoui qu'il arrive, là où le sort les a fait naître.Peut-être est-ce pour cette raison que "la Maison des bois", dont l'adaptation télévisée a remporté auprès du public un succès sans précédent, nous conquiert peu à peu, et moins comme l'évocaton d'un moment historique que comme une incusrsion précieuse dans le monde de l'enfance et dans un univers où chacun semble se souvenir que l'homme est fragile mais éternel.==========Le Tremblement de Terre de San Francisco - Gordon Thomas et Max Morgan Witts(The San fransico Earthquake)Au soir du 17 avril 1906, San Francisco est encore l'une des plus beles villes des États-Unis, l'un des joyaux de la côte du Pacifique. Née d'un "boom" comme seule en connaît alors l'Amérique, la cité a grandi en un clin d'oeil pour arbitrer ses habitants lancés à l'assaut de la fortune et du pouvoir. A San Francisco, on travaille et on s'amuse avec la même passion, on va entendre le chanteur Caruso, on se lance dans la mêlée impitoyable de la politique locale. Bref, on vit au rythme accéléré de la réussite promise, possible, aveuglante.Vingt-quatre heures plus tard, San Francisco n'est plus qu'une immense masse de décombres sous lesquels gisent morts et blessés innombrables, et que fuient les survivants affolés. Une des secousses telluriques les plus gigantesques qui se soient produites de mémoire d'homme vient de jeter bas les maisons construites sans le moindre souci de prudence et de sécurité. L'incendie, immédiatement, ajoute ses ravages à ceux du tremblement de terre. C'est alors une vision d'enfer, telle que seuls pourront par la suite l'évoquer ceux qui auront échappé à la catastrophe.Ces témoins, au nombre d'une cinquantaine, vivent encore. Ce sont eux qu'ont interrogés Gordon Thomas et Max Morgan Witts avant de nous livrer non le récit, mais le reportage hallucinant de l'un des plus effroyables cataclysmes qu'ait subis l'humanité.==========Les Jeudis de Madame Giulia - Piero Chiara(I Giovedi della Signora Giulia)Rien qui ressemble à une petite ville de France comme une petite ville d'Italie. La province est partout la province, peuplée de gens qui se connaissent tous et dont chacun prend un intérêt passionné aux moindres détails de l'existence de ses voisins. Aussi imagine-t-on sans peine la place importante que tient, dans ce bourg de Lombardie, la très belle Mme Giulia, épouse d'un avocat très en vue, pourvue de bijoux et de dignité, qui va chaque jeudi voir sa fille Emilia à Milan, où l'enfant est pensionnaire.Et puis, un jeudi, Mme Giulia disparaît. Sans laisser de trace ni de lettre d'adieu, dans des circonstances bien faites pour mettre toute la communauté en émoi. Immédiatement commence le jeu usé mais jamais épuisé des hypothèses, dont la plus simple, aussitôt retenue par la rumeur publique, est de pourvoir d'un amant cette femme trop belle au mari trop vieux. Et d'imaginer une fugue classique d'une banalité, somme toute, rassuante.Mais la réalité est toujours plus riche en surprises que l'imagination la plus délirante. Mme Giulia, qui n'a jamais tant fait parler d'elle que depuis sa disparition, devient pour ces consitoyens l'heroïne d'une énigme dont le fin mot va se faire attendre.C'est d'abord un roman policier que nous propose ici Piero Chiara; mais le mystère à résoudre n'est pas l'essentiel de ce livre plein d'humour où passe souvent le souffle de Pirandello. L'Italie la plus vraie donne son rythme ete sa couleur au déroulement d'une action fondée sur le suspense le plus lent et le plus efficace qui soit. Du talent, de l'intelligence, de l'esprit: c'est, en littérature comme ailleurs, une excellente recette.==========La diligenc...We have made it easy for you to find a PDF Ebooks without any digging. And by having access to our ebooks online or by storing it on your computer, you have convenient answers with Sélection du livre 1973/1. To get started finding Sélection du livre 1973/1, you are right to find our website which has a comprehensive collection of manuals listed. Our library is the biggest of these that have literally hundreds of thousands of different products represented.
Description: La Maison des Bois - René Wheeler et Maria Benedicto"La guerre, c'est la guerre", écrivait Jean Giraudoux. Mais il faut bien admettre qu'elle sait prendre, selon les lieux et les époques, des visages et des dimensions infiniment variés. Dans le petit village picard où René Wheeler et Maria Benedicto ont situé leur roman, la Première Guerre mondiale garde, en 1918, des proprtions humaines, à la mesure même des presonnages et de leur destin le plus quotidien. Au centre du récit, Maman Jeanne et son mari, le garde-chasse Albert, qui accueillent dans leur maison forestière des petits Parisiens chassés de la capitale par la tourmente. Pour ces enfants, et plus encore pour le jeune René que ses parents semblent avoir définitivement oublié dans cet abri privilégié, la guerre est surtout l'occasion de découvrir l'existence un peu lente, faite de sentiments simples mais profonds, d'arbres pleins d'oiseaux, de pain partagé, de jeux libres, dans cette petite communauté villageoises repliée sur elle-même.Pourtant, la guerre n'épargne personne; ici comme aiileurs, elle tue, elle isole, elle s'efforce de trancher l'un après l'autre les liens qui seuls font que l'avenir puisse être synonyme d'espérance. Mais ici plus qu'ailleurs les êtres demeurent fidèles à leur première mission qui est de continuer, quand même, qoui qu'il arrive, là où le sort les a fait naître.Peut-être est-ce pour cette raison que "la Maison des bois", dont l'adaptation télévisée a remporté auprès du public un succès sans précédent, nous conquiert peu à peu, et moins comme l'évocaton d'un moment historique que comme une incusrsion précieuse dans le monde de l'enfance et dans un univers où chacun semble se souvenir que l'homme est fragile mais éternel.==========Le Tremblement de Terre de San Francisco - Gordon Thomas et Max Morgan Witts(The San fransico Earthquake)Au soir du 17 avril 1906, San Francisco est encore l'une des plus beles villes des États-Unis, l'un des joyaux de la côte du Pacifique. Née d'un "boom" comme seule en connaît alors l'Amérique, la cité a grandi en un clin d'oeil pour arbitrer ses habitants lancés à l'assaut de la fortune et du pouvoir. A San Francisco, on travaille et on s'amuse avec la même passion, on va entendre le chanteur Caruso, on se lance dans la mêlée impitoyable de la politique locale. Bref, on vit au rythme accéléré de la réussite promise, possible, aveuglante.Vingt-quatre heures plus tard, San Francisco n'est plus qu'une immense masse de décombres sous lesquels gisent morts et blessés innombrables, et que fuient les survivants affolés. Une des secousses telluriques les plus gigantesques qui se soient produites de mémoire d'homme vient de jeter bas les maisons construites sans le moindre souci de prudence et de sécurité. L'incendie, immédiatement, ajoute ses ravages à ceux du tremblement de terre. C'est alors une vision d'enfer, telle que seuls pourront par la suite l'évoquer ceux qui auront échappé à la catastrophe.Ces témoins, au nombre d'une cinquantaine, vivent encore. Ce sont eux qu'ont interrogés Gordon Thomas et Max Morgan Witts avant de nous livrer non le récit, mais le reportage hallucinant de l'un des plus effroyables cataclysmes qu'ait subis l'humanité.==========Les Jeudis de Madame Giulia - Piero Chiara(I Giovedi della Signora Giulia)Rien qui ressemble à une petite ville de France comme une petite ville d'Italie. La province est partout la province, peuplée de gens qui se connaissent tous et dont chacun prend un intérêt passionné aux moindres détails de l'existence de ses voisins. Aussi imagine-t-on sans peine la place importante que tient, dans ce bourg de Lombardie, la très belle Mme Giulia, épouse d'un avocat très en vue, pourvue de bijoux et de dignité, qui va chaque jeudi voir sa fille Emilia à Milan, où l'enfant est pensionnaire.Et puis, un jeudi, Mme Giulia disparaît. Sans laisser de trace ni de lettre d'adieu, dans des circonstances bien faites pour mettre toute la communauté en émoi. Immédiatement commence le jeu usé mais jamais épuisé des hypothèses, dont la plus simple, aussitôt retenue par la rumeur publique, est de pourvoir d'un amant cette femme trop belle au mari trop vieux. Et d'imaginer une fugue classique d'une banalité, somme toute, rassuante.Mais la réalité est toujours plus riche en surprises que l'imagination la plus délirante. Mme Giulia, qui n'a jamais tant fait parler d'elle que depuis sa disparition, devient pour ces consitoyens l'heroïne d'une énigme dont le fin mot va se faire attendre.C'est d'abord un roman policier que nous propose ici Piero Chiara; mais le mystère à résoudre n'est pas l'essentiel de ce livre plein d'humour où passe souvent le souffle de Pirandello. L'Italie la plus vraie donne son rythme ete sa couleur au déroulement d'une action fondée sur le suspense le plus lent et le plus efficace qui soit. Du talent, de l'intelligence, de l'esprit: c'est, en littérature comme ailleurs, une excellente recette.==========La diligenc...We have made it easy for you to find a PDF Ebooks without any digging. And by having access to our ebooks online or by storing it on your computer, you have convenient answers with Sélection du livre 1973/1. To get started finding Sélection du livre 1973/1, you are right to find our website which has a comprehensive collection of manuals listed. Our library is the biggest of these that have literally hundreds of thousands of different products represented.